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L'imagination, la rigueur et moi.



L’imagination, la rigueur. Qu’est-ce que le quoi? Alors le quoi, mes petits amis, c’est que j’écris beaucoup (sans déconné, Vily, tu ouvres un blog pour poster ce que t’écris et tu écris beaucoup, tout le monde est incroyablement étonné) mais j’écris souvent que la moitié. J’ai toujours eu une imagination florissante mais j’ai jamais fini beaucoup d’histoires. Vous allez me dire « par flemme? », je vais vous répondre par trouille. Imaginer des choses, c’est chouette. On ouvre une petite porte et derrière, y a un monde entier. Il a ses règles, son fonctionnement, un bon milliard d’histoires potentielles et autant de personnages. Commencer à écrire sur ce monde, c’est le découvrir et ouvrir le champs des possibles : est-ce que mon personnage va être gentil, méchant? Est-ce qu’il va être amoureux? Est-ce qu’il va combattre pour le bien commun ou pour découvrir son passé? Plus on écrit et plus on ferme certaines portes jusqu’à ce qu’on décide de conclure. La conclusion de l’histoire, c’est un peu la porte ultime. Une fois que tu l’as fermé, tu peux difficilement l’ouvrir. Moi, c’est ça qui me bloque : fermer cette porte. Laisser ce monde tranquille alors qu’il y a, avait et aura toujours autant de potentiel, c’est un peu comme partir de Disneyland avant la Disneyparade. T’as pas envie, j’ai pas envie, les souris, les peluches et l’univers n’ont pas envie. Sauf qu’à repousser les conclusions et à trainer la patte pour finir quoique ce soit, on arrive à un moment où y a beaucoup de choses écrites, pas grand chose de sorti. Bref, c’est triste. Bouhou. Du coup, arrive ce moment où il faut bien que je me résigne à apprendre à fermer les portes. Parce que ça fait des courants d’air, tu chopes un rhume, tu meurs d’une pneumonie et voilà! T’as cherché aussi. Fermer des portes, tourner des pages, c’est important. Au-delà du coté bien-être, à un moment donné, être lu, avoir des retours sur ses projets, sur ce qu’on écrit et notre imaginaire ça permet de le faire évoluer et de grandir. Punaise, on est en train de philosopher ou bien? Ca, c’est nouveau. Bref! L’idée avec Unicorns can’t save, c’est de me forcer à conclure des choses. J’ai beaucoup à écrire : des idées et des histoires plein la tête mais les laisser moisir sur un disque dur pour des raisons qui échappent totalement au commun des mortels ( bonjour, je suis le commun des mortels) ça n’est pas leur rendre hommage. J’ai envie de partager quelques petites histoires avec toi, oui, toi, lecteur, mais aussi mes découvertes et tout ce sur quoi j’ai envie d’écrire. C’est un peu là que l’idée de rigueur arrive, tu l’as senti, pas vrai? Ce blog, c’est aussi pour me donner un bon vieux coup de pied au derrière. FINIS TES HISTOIRES, BORDEL DE FESSES, VILY! Oui, je suis comme ça. Je capslocke. Et pourquoi pas? Hein? Pourquoi je capslockerai pas? Rigueur et moi, c’est un peu comme Trump et intelligence, ça ne se marie pas très bien. Sauf que moi et rigueur, on aimerait bien se connaitre et s’apprivoiser. Du coup, Unicorns can’t save. Parce qu’à 25 ans, il est temps de commencer à faire lire des choses à des gens ou d’arrêter de perdre du temps à écrire des trucs que jamais personnes ne lira, vous croyez pas? Ca existe la crise de la vingt-cinquaine? C’est un truc? Bon. En gros, c’est l’idée. Si dans un an ce blog est encore là, sans déconné je sabre le champagne. En espérant que le contenu vous plaira à tous. Amour sur vous.

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